Et pour tout cela, merci.
Quelques analectes d’un analecte.
Et pour tout cela, merci.
Je ne sais rien jeter. Alors à mesure que le temps passe, tout s’accumule.
Au train où vont les choses, la mémoire de cette famille se limitera à un album photo, où personne ne saura plus rien des visages qui y dorment, des vies, des reliefs estompés.
Au cabaret du paradis perdu, c’est la dernière ce soir. On ferme et on se demande ce qu’il adviendra de nous après.
La faim fut mon premier désir, le manque ma première peur.